Tout notre matériel est stérilisé et aux normes RECH C.E.

Nos aiguilles sont à usage unique.

Avec le temps, j’ai développé, comme chaque artiste tatoueur, mon propre style.

Mes prédilections sont le style horrifique, anamorphosé, féérique, floral et le lettrage.

Je me suis également spécialisé dans le recouvrement et la transformation d’anciens tatouages.

Je pratique quasiment toutes les techniques de tatouage ancestral tout comme le classique, bien évidemment.

En revanche, je privilégie désormais mes propres créations et aime travailler avec mes clients pour leur créer un tatouage personnalisé et unique.

Mes dessins sont réalisés à l’ancienne, sur papier et avec un crayon et non sur tablette numérique qui, pour moi, ne représente pas la patte du tatoueur trop assisté par la tablette.

Je réalise également du freestyle soit en dessinant directement sur la peau, soit en tatouant directement sans stencil ni traçage préalable pour mes clients aimant mon style et que j’ai déjà tatoué. Ils me donnent leur idée générale et on y va sans filet !

N’étant pas un photocopieur dermique, je ne réalise plus les tattoos que l’on me montre sur un téléphone portable, déjà tatoués 1000 fois par des gens en manque d’inspiration.

Je vous laisse découvrir toutes mes techniques de tatouage ci-dessous ainsi que quelques unes de mes réalisations.

nos tatouages

Cliquez sur les images ci-dessous pour voir un échantillon de mon champ d’action !

technique speciale : le tatouage adn

Le tatouage ADN est un acte de commémoration par excellence.
Une communion extrême entre deux êtres.
C’est le must des tatouages dits primitifs traditionnels.

Un tatouage ADN, qu’est-ce que c’est ?

Commençons par un peu d’histoire…

Cette forme de tatouage, ancestrale et traditionnelle, provient d’Australie et de Papouasie Nouvelle Guinée. Issu de croyance chamanique, il était utilisé originellement pour acquérir la force ou le pouvoir d’un animal ou pour garder des liens avec les ancêtres défunts.

Il fut interdit par les colons pour des raisons « éthiques » qui différaient de leurs propres croyances. Cette technique continua toutefois à être pratiquée en secret par les indigènes.

Redécouvert il y a peu par un américain en voyage en Australie et adepte des tatouages traditionnels, il importa le principe et en parla sur les réseaux sociaux. Cela fit l’effet d’une bombe et d’un engouement extraordinaire aux US et, depuis 2 ans, ils sont devenus des précurseurs en la matière.

Le tattoo ADN consiste a inclure dans l’encre de tatouage de l’ADN d’animaux ou d’humain, vivant ou décédé.

Cette pratique est absolument sans risque sanitaire et est parfaitement au point.

La matière organique est traitée par procédé chimique et mécanique, qui permet d’en extraire un «agglomérat ADNIC ». Pour cela, on peut utiliser des cheveux, des os, des ongles, des griffes, des poils ou de la cendre funéraire. Une fois traitée, l’agglomérat ADNIC peut être mélangé à l’encre de tatouage .

Toutes les techniques de tatouage connues sont adaptables en tatouage ADN. Le tatouage ADN peut faire l’objet d’un nouveau tatouage ou être intégré a un tattoo déjà existant .

Le tatouage ADN est un acte de commémoration par excellence.
Une communion extrême entre deux êtres.
C’est le must des tatouages dits primitifs traditionnels.

UV – Glow in the dark

Qu'est-ce que le tatouage U.V. et Glow in the dark

Il ne faut pas confondre ces deux types de tatouage !

Le tattoo U.V peut être visible ou invisible le jour. Il révèle tout son intérêt pour les fêtards, car il brille sous la lumière noire ! En boite de nuit ou bar d’ambiance ces tattoos font leurs petits effet…

Le tattoo Glow in the dark n’est pratiquement pas visible le jour, en revanche, ses pigments captent la lumière du jour et brillent dans la nuit ou la pénombre !

Pas besoin de lumière noire pour le voir briller !

Note sur les tattoos UV et Glow in the dark

La France ne reconnait pas encore ce type de tatouage car il est suspecté d’être cancérigène, alors que ces encres sont utilisées couramment dans le monde entier, y compris à nos frontières, d’ailleurs…

En même temps, on se rappelle le projet de loi visant à interdire tous les types d’encres couleurs !

Nous aurions été le seuls pays de la planète a ne plus pouvoir faire de tatouage en couleurs… LOL

Je pense que tout est dit ! Mais cela devait être précisé pour une totale transparence…

C’est pourquoi il vous sera demandé une décharge post acte par tous les salons pratiquant ce type de tatouage en France.

HAND POKE : ANCESTRAL ET PRIMITIF

Qu'est-ce que le hand poke ?

C’est à ma connaissance la forme de tatouage la plus ancienne, présente sur tous les continents, pratiquée avec des os, des épines de cactus, d’acacia, des dards de scorpions et même avec des crochet de mygales en Amazonie ! Vous l’aurez compris tout ce qui peut piquer est utilisable en hand poke !

Ces tattoos n’étaient pas, à l’origine, destinés à être esthétiques mais à marquer un événement, un rite initiatique, etc.

Le principe du hand poke est de faire des motifs en piquant point par point.

Profondément archaïque, primitif et tribal, le hand poke est sans doute la première forme de tatouage qui ait existé sur Terre et est très probablement l’ancêtre de toutes les formes de tatouage.

DOTWORK : NEO-PRIMITIF

Qu'est-ce que le dotwork ?

Cette technique de tatouage est exactement sur le même principe que le hand poke mais est réalisée de façon moderne à la machine dermographe.

Il est important de souligner que le résultat obtenu en dotwork, bien que proche, et loin d’égaler les résultats obtenu avec la méthode du hand-poke

IREZUMI : LE TRADITIONNEL JAPONAIS

Qu'est-ce que l'irezumi ?

L’irezumi était à l’origine porté par les yakuza mais, ce qui est moins connu, également par les geisha.
Aujourd’hui encore, le tatouage est mal accepté au Japon et certains tatoués se voient refuser l’entré de certains lieux, notamment les bains publiques.
Art millénaire, il se pratique avec un « TEBORI », sorte de longue baguette avec des aiguilles à son extrémité .
De nos jours, les dermographes ont remplacé les Teboris… cependant, les puristes continuent à se faire tatouer au Tebori.

MOKO : LE TATOUAGE POLYNÉSIEN

Qu'est-ce que le Moko?

Contrairement à la croyance populaire, le Moko n’est pas exclusivement polynésien mais est une technique issue de toutes les îles du Pacifique, des îles Marquise, etc. Cela explique d’ailleurs les spéciftiés et particularités de motifs mais aussi les divergences d’appellations.

Pratiqué avec l’outil que l’on appelle actuellement « hand-tap », le principe est assez complexe, car il nécessite deux objets. Le « peigne », sorte de râteau, comporte les aiguilles. Le « marteau » sert à taper sur le « peigne » pour donner des impulsions qui enfoncent les aiguilles …

Le Moko se pratique à trois, le tatoué (bien sûr), le tatoueur et un assistant qui tire la peau et tient le tatoué. De ce fait, le tattoo polynésien est maintenant quasiment toujours réalisé au dermographe, sauf dans les rites d’initiation ou pour les puristes.